Discovery of the IITO brand: a meeting between simplicity and innovation

At the moment, Japanese clothing brands are quite unknown in Belgium. This article is an opportunity to raise the veil on one of them: IITO.

The IITO brand was born in Kumamoto, in the heart of the Daiichi Bôseki (第一紡績工場) spinning company, founded in 1947. It is the only company in Japan that integrates both spinning and dyeing processes at the same site, which allows them to keep control of the various manufacturing stages and thus offer fabrics that are fully representative of the company.

This brand mainly offers t-shirts, sweatshirts and sweaters made with different spinning techniques that bring specific characteristics to the clothes.

Thus, the t-shirts are made from a high quality cotton associated with the PURE BREEZE process. The particularity of this process consists in the twisting of the threads which allows the material to keep its brightness, its natural softness and to increase its durability.

Through the sweater below that I had the opportunity to test, it is not an exaggeration to say that their expertise is perceptible in the material that shapes the clothes they propose. Indeed, my first impression was the softness of it which offers a pleasant feeling of comfort. A sensation transmitted by the material used, the MIDAIR. This fabric, made of 100% cotton, is obtained through a special spinning method that creates layers of air between the fibers. In addition to the comfort, MIDAIR offers that characteristic, slightly fluffy look.

The comfort felt when wearing or touching the garment is, in my opinion, reinforced by the gray color of the sweater. A light gray, conducive to relaxation. Of course, this is only my personal feeling. Besides, don’t we say « Tastes and colors, that’s not debatable » 😉

In addition to the material I just mentioned and which, in my opinion, is of excellent workmanship, let’s focus on other elements that determine the quality of a garment such as the seams as well as various details.

Generally, I pay little attention to the seams of the clothes I wear but this article is an opportunity to change my mind! Indeed, although discreet, they are very important because they impact different factors such as the durability of the garment and its comfort.

The brand IITO takes the decision to make the seams visible, both on the outside and inside of the garment. An interesting aesthetic choice that I think gives this brand its own identity. In addition, since nothing is hidden, I think that the garment and therefore more broadly the brand, wants to establish a relationship of trust between the person and the article it holds in his hands.

To come back to the seams of the sweatshirt that I present to you, several elements are to be mentioned. First of all, those present inside the garment are flat, soft and do not cause on the skin this unpleasant sensation of friction that I could already feel with other clothes. In addition, they are perfectly clean, regular and the areas of junction between the different seams have the same regularity and neatness. Secondly, let’s take a look at the seams on the outer surface. They have nothing to envy to their cousins and have the same characteristics.

Let’s take a closer look at the zipper. The main characteristic of this one is that it is double. Therefore, it allows for different adjustments depending on the style you are looking for. Made of metal, the slider is thick and slides easily over the teeth. Like the seams, the attachment of the ribbon to the fabric is precise and has no defects that could compromise its durability.

Let’s move on to two details. First, I would like to focus on the absolutely fantastic hood! The hood is wide, thick but light and once you put it on, it offers a very nice, soft and warm space! Secondly, I would like to draw your attention to the triangular piece of fabric located under the armpit. This one gives more ease at the level of the arms, which, once again, increases the feeling of comfort felt.

Source: Jennifer De la Rubia

This test is slowly coming to an end but if I had to define the main characteristics of this brand through this sweater, I would say: simplicity, quality and comfort. Indeed, although the model is simple, this characteristic is an asset that allows it to break away from the rules of clothing styles that punctuate our society. The material awakens the touch and makes the garment a garment that we want to wear and even more, to keep. The quality is embodied in the different elements of the garment and in doing so, establishes a bond of trust between the brand and ourselves. Am I ready to trust the IITO brand ? Yes, definitely ! Are you ?

Source: Jennifer De la Rubia

If you wish to discover more about the IITO brand, do not hesitate to visit their website: IITO SHOP / TOPページ (ichibo.jp)

You can also follow them on social networks via :

The brand was also represented at three Pop-up Exhibition in Paris, Antwerp and London as part of the project initiated by Setsugekka and that you can discover in my second article 😉

Découverte de la marque IITO: rencontre entre simplicité et innovation

À l’heure actuelle, les marques de vêtements japonaises sont assez méconnues en Belgique. Cet article est donc l’occasion de lever le voile sur l’une d’entre elles : IITO.

La marque IITO est née à Kumamoto, au cœur même de l’entreprise de filature Daiichi Bôseki (第一紡績工場), fondée en 1947. C’est la seule entreprise du Japon qui intègre à la fois les processus de filature et de teinture sur le même site, ce qui leur permet de garder la maitrise des différentes étapes de fabrication et donc de proposer des tissus pleinement représentatif de la société. 

Cette marque propose principalement des t-shirts, des sweat ainsi que des pulls over réalisés au moyen de différentes techniques de filage qui apportent des caractéristiques spécifiques aux vêtements.

Ainsi, les t-shirts sont fabriqués à partir d’un coton de haute qualité associé au procédé PURE BREEZE. La particularité de ce dernier consiste en la torsion des fils qui permettent à la matière de conserver sa brillance, sa douceur naturelle et d’en accroitre la durabilité.

Au travers du sweat ci-dessous que j’ai eu l’occasion de tester, il n’est pas exagéré de dire que leur expertise est perceptible dans la matière qui façonne les vêtements qu’ils proposent. En effet, ma première impression a été la douceur de celle-ci qui offre une agréable sensation de confort. Une sensation transmise par le matériau utilisé, le MIDAIR. Ce tissu, composé de 100 % de coton, est obtenu par une méthode spéciale de filage créant des couches d’air entre les fibres. Outre le confort, le MIDAIR offre cet aspect caractéristique, légèrement duveteux.

Le confort ressenti lorsque l’on porte ou touche le vêtement est, à mon sens, renforcée par la couleur grise du sweat. Un gris léger, propice à la détente. Bien sûr, il ne s’agit ici que de mon ressenti personnel. D’ailleurs, ne dit-on pas « Les goûts et les couleurs, cela ne se discute pas » ? 😉

Outre la matière dont je viens de parler et qui, à mon sens, est d’excellente facture, intéressons-nous à d’autres éléments qui déterminent la qualité d’un vêtement comme les coutures ainsi que différents détails.

Généralement, je prête assez peu attention aux coutures des vêtements que je porte mais cet article est l’opportunité de changer d’avis ! En effet, bien que discrètes, elles n’en sont pas moins très importantes car elles impactent différents facteurs comme la durabilité du vêtement ainsi que son confort.

La marque IITO prend le parti de rendre les coutures apparentes, que ce soit à l’extérieur et à l’intérieur du vêtement. Un choix esthétique intéressant et qui, je pense, confère à cette marque une identité propre. En outre, puisque rien n’est dissimulé, je pense que le vêtement et donc plus largement la marque, souhaite établir une relation de confiance entre la personne et l’article qu’elle tient dans ses mains.

Pour en revenir aux coutures du sweat que je vous présente, plusieurs éléments sont à mentionner. Tout d’abord, celles présentes à l’intérieur du vêtement sont plates, douces et ne provoquent pas sur la peau cette désagréable sensation de frottement que j’ai déjà pu ressentir avec d’autres habits. De plus, elles sont parfaitement nettes, régulières et les zones de jonction entre les différentes coutures possèdent cette même régularité et netteté. Deuxièmement, intéressons-nous à celles situées sur la surface externe. Elles n’ont rien à envier à leurs cousines et possèdent les mêmes caractéristiques.

Regardons de plus près la fermeture éclair. La principale caractéristique de celle-ci est qu’elle est double. De ce fait, elle permet d’opérer différents ajustements en fonction du style recherché. Réalisé en métal, le curseur est épais et glisse facilement sur les dents. Comme les coutures, la fixation du ruban au tissu est précis et ne présente pas de défaut risquant de compromettre sa durabilité.

Passons maintenant à deux détails. Tout d’abord, j’aimerais m’attarder sur la capuche absolument fantastique ! Cette dernière est large, épaisse mais légère et une fois enfilée, elle offre un espace très agréable, doux et chaud ! Deuxièmement, j’attire votre attention sur la pièce de tissu triangulaire située sous l’aisselle. Celle-ci accorde davantage d’aisance au niveau des bras, ce qui, une fois encore, accroit le sentiment de confort ressenti.

Source: Jennifer De la Rubia

Ce test touche doucement à sa fin mais si je devais définir les principales caractéristiques de cette marque au travers de ce sweat, je dirais : simplicité, qualité et confort. En effet, bien que le modèle soit simple, cette caractéristique est un atout lui permettant de se détacher des règles des styles vestimentaires qui rythment notre société. La matière éveille le toucher et fait du vêtement un habit que l’on a envie de porter et plus encore, de garder. La qualité s’incarne dans les différents éléments constitutifs du vêtements et ce faisant, établi un lien de confiance entre la marque et nous-même. Suis-je prêt à faire confiance à la marque IITO ? Oui, assurément ! Et vous ?

Source: Jennifer De la Rubia

Si vous souhaitez découvrir davantage la marque IITO, n’hésitez pas à consulter leur site Internet : IITO SHOP / TOPページ (ichibo.jp)

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La marque était également représentée à l’occasion de trois Pop-up Exhibition à Paris, Anvers et Londres dans le cadre du projet initié par Setsugekka et que vous pouvez découvrir dans mon second article 😉

The Setsugekka project: minimalist beauty

Setsugekka (雪月花), a poetic name for the natural beauty of the seasons in Japan: the snow of winter, the moon of autumn and the flowers of spring. And such is the name chosen for this project revolving around two objectives: to highlight the beauty of Japanese craftsmanship through a minimalist aesthetic and to respond to Fueki Ryûkô’s (不易流行) philosophy, which could be summarized as « Continuity and Change ».

Source: Setsugekka

Minimalism or « Less is more » is what I call a return to the essential. This concept is deeply rooted in the Japanese culture marked by Zen Buddhism. In order to understand it, we have to leave our Western eyes and try to perceive its meaning through the eyes of the Japanese culture. Without going into detail because that is not the point, there are seven aesthetic principles in Zen philosophy including Kanso (簡素), simplicity. The latter makes sense in this initiative where each creation is free of any superfluous elements. By the same token, our daily life itself becomes simpler.

In addition, I think a second concept is perfectly illustrated by this project, that of Yûgen (幽玄), mysterious depth and consisting of feeling the hidden beauty. A beautiful example is no more and no less than the name « Setsugekka ». Everyone can imagine the beauty of cherry trees in spring. But broaden your horizons… Seasons come and go, landscapes change, shaped by the work of nature and man. These cherry trees that you imagine have a past, a present and a future. To feel it is, in my opinion, the perception of this hidden beauty. It is the same for these objects. The raw material has been worked, shaped to give it the desired form. Over time, it will also evolve, the beauty of use.

Source: personal photo

Fueki Ryûkô’s philosophy may seem complex but an example is better than a long speech. Handicrafts are, in my opinion, an important part of Japanese culture and as such, have an immutable essence. However, on several occasions, I have noticed that traditional craftsmanship sometimes struggles to find its place in our modern society. Thus, I think that the main challenge is to integrate changes, evolutions without changing the original form.

Therefore, this project aims to present the work of artists, craftsmen and companies immersed in the very heart of these reflections. You will find creations touching different materials, intended for different uses but all marked by the same desire to bring an aesthetic reduced to its purest essence and this will to integrate them in our daily life and by this way, to enrich it. I would go even further… It is not only about concepts embodied in the work of these men and women but also the transmission of values strongly rooted in Japanese culture.

This is particularly the case for the clothing brand IITO. Specialized in the manufacture of cotton clothes for nearly 70 years in the Kumamoto region, the clothes it offers are marked by a simplicity in the form but a technical research in order to bring softness, comfort, durability to its creations. You will find more information related to this brand in the article dedicated to it 😉

This article is coming to an end but before I leave you, I also wanted to highlight the work of another one of these people who is putting her talent and know-how at the service of this project: Yuki Onizuka, a specialist in Yokoburi (横振り) embroidery, a term meaning horizontal swing.

A strange name to say the least, but patience. Let’s go back in time and precisely to the Taishô era (1912-1926), period during which this process was born. It would find its origin in the city of Kiryû in the current prefecture of Gunma and was mainly used for the embroidery of Buddhist altar objects and kimono.

Today, this craftswoman creates modern jewelry using a 70-year-old mechanical sewing machine! But unlike a conventional machine, the needle of this one moves from left to right, creating a kind of swing from which the technique takes its name.

At this moment, imagine the piece of fabric delicately placed on the workbench, the back and forth movement of the needle giving substance to the artist’s creation. Even more, the sounds produced by this machine activated by movements on the pedal, the lever… The scene comes to life and, in your turn, you can perceive its hidden beauty.

But beyond its original form, this technique is sublimated by the know-how and inspirations of this artist. Thus, she does not only reproduce a process, she enriches it. The result is unique pieces in which nature reveals itself with a lot of grace and softness. Nature is revealed to us in its simplest but magnificent simplicity.

If you want to know more about Setsugekka, I invite you to visit their website: Setsugekka (setsugekka1911.jp)

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This fabulous initiative was embodied in three Pop-up Exhibitions held in Paris, Antwerp and London from January 07 to 22. Via Setsugekka’s Facebook page, you can discover the work of other talented artists ! On WalloNihon’s page, don’t hesitate to consult the post dedicated to my visit of the one in Antwerp: discoveries, meetings were there !

Source: personal photo

Le projet Setsugekka: la beauté minimaliste

Setsugekka (雪月花), une appellation poétique désignant la beauté naturelle des saisons au Japon : la neige de l’hiver, la lune de l’automne et les fleurs du printemps. Et tel est le nom choisi pour ce projet s’articulant autour de deux objectifs : mettre en valeur la beauté de l’artisanat japonais à travers une esthétique minimaliste et répondre à la philosophie de Fueki Ryûkô (不易流行) que l’on pourrait synthétiser par « Continuité et changement ».

Source: Setsugekka

Le minimalisme ou « Less is more », moins c’est plus, est ce que j’appelle un retour à l’essentiel. Ce concept s’enracine profondément dans la culture japonaise marquée par le Bouddhisme Zen. Pour le comprendre, il nous faut délaisser notre regard d’Occidentaux pour tenter d’en percevoir la signification au travers de celui de la culture nipponne. Sans entrer dans les détails car ce n’est pas le but, il existe sept principes esthétiques dans la philosophie Zen dont le Kanso (簡素), simplicité. Cette dernière prend sens dans cette initiative où chaque création est libérée de tout élément superflu. Par la même, notre quotidien en devient lui-même plus simple.

En outre, je pense qu’un second concept est parfaitement illustré par ce projet, celui de Yûgen (幽玄), profondeur mystérieuse et consistant à ressentir la beauté cachée. Un bel exemple n’est ni plus ni moins que le nom « Setsugekka ». Chacun peut imaginer la beauté des cerisiers au printemps. Mais élargissez vos horizons… Les saisons se succèdent, les paysages évoluent, façonnés par l’œuvre de la nature et de l’Homme. Ces cerisiers que vous imaginez ont un passé, un présent et un futur. Le ressentir est, à mon sens, la perception de cette beauté cachée. Il en va de même pour ces objets. La matière première a été travaillée, façonnée pour lui donner la forme désirée. Au fil du temps, celle-ci aussi va évoluer, la beauté de l’usage.

Source: photo personnelle

La philosophie de Fueki Ryûkô peut paraître complexe mais un exemple vaut mieux qu’un long discours. L’artisanat est, à mon sens, un élément important de la culture japonaise et à ce titre, possède une essence immuable. Toutefois, à plusieurs reprises, j’ai constaté que l’artisanat traditionnel peine parfois à trouver sa place dans notre société moderne. Ainsi, je pense que le principal défi est d’y intégrer des changements, des évolutions sans en modifier la forme originale.

De ce fait, ce projet vise à présenter le travail d’artistes, d’artisans et d’entreprises plongés au cœur même de ces réflexions. Vous y trouverez des créations touchant à différentes matières, destinées à différents usages mais toutes marquées par ce même désir d’apporter une esthétique réduite à son essence la plus pure et cette volonté de les intégrer dans notre vie quotidienne et par là même, de l’enrichir. J’irais même plus loin… Il ne s’agit pas uniquement de concepts s’incarnant dans le travail de ces hommes et de ces femmes mais également la transmission de valeurs fortement ancrées dans la culture japonaise.

C’est notamment le cas de la marque de vêtements IITO. Spécialisée dans la fabrication de vêtements en coton depuis près de 70 ans dans la région de Kumamoto, les habits qu’elle propose sont marqués par une simplicité dans la forme mais une recherche technique afin d’apporter douceur, confort, durabilité à ses créations. Vous trouverez davantage d’informations liées à cette marque dans l’article qui lui est dédié 😉

Cet article arrive à son terme mais avant de vous quitter, je souhaitais également mettre en lumière le travail d’une autre de ces personnes qui met son talent et son savoir-faire au service de ce projet : Yuki Onizuka, spécialiste de la broderie Yokoburi (横振り), un terme signifiant balancement horizontal.

Une appellation pour le moins étrange mais patience. Remontons dans le temps et précisément à l’ère Taishô (1912-1926), période durant laquelle ce procédé est né. Ce dernier trouverait son origine dans la ville de Kiryû dans l’actuelle préfecture de Gunma et était principalement utilisé pour la broderie d’objets d’autels bouddhiques et de kimono.

Aujourd’hui, cette artisane crée des bijoux modernes à l’aide d’un modèle de machine à coudre mécanique vieux de 70 ans ! Mais contrairement à une machine classique, l’aiguille de celle-ci se déplace de gauche à droite, créant une sorte de balancement duquel la technique tire son nom.

À cet instant, imaginez la pièce de tissu délicatement posée sur l’établi, le mouvement de va et vient de l’aiguille donnant corps à la création de l’artiste. Plus encore, les sons produits par cette machine actionnée par des mouvements sur la pédale, le levier… La scène prend vie et, à votre tour, vous pouvez en percevoir la beauté cachée.

Mais dépassant sa forme originelle, cette technique se voit sublimée par le savoir-faire et les inspirations de cette artiste. De ce fait, elle ne fait pas que reproduire un procédé, elle l’enrichit. Il en résulte des pièces uniques dans lesquelles la nature se dévoile avec beaucoup de grâce, de douceur. La nature nous est révélée dans ce qu’elle a de plus simple mais une magnifique simplicité.

Si vous souhaitez en savoir plus sur Setsugekka, je vous invite à consulter leur site Internet : Setsugekka (setsugekka1911.jp)

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Cette fabuleuse initiative s’est incarnée dans trois Pop-up Exhibition qui se sont tenus à Paris, Anvers et Londres du 07 au 22 janvier. Via la page Facebook de Setsugekka, vous pourrez découvrir le travail d’autres artistes talentueux ! Sur celle de WalloNihon, n’hésitez pas à consulter le post dédié à ma visite de celui d’Anvers : découvertes, rencontres ont été au rendez-vous !

Source: Photo personnelle